RPG des Dragonnos Furieux
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 Armure

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livre

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Nombre de messages : 40
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Date d'inscription : 14/01/2007

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MessageSujet: Armure   Armure Icon_minitimeDim 14 Jan - 12:40

Matériaux

Les matériaux utilisés sont :

* Le cuir souple ;
* Le cuir rigide : cuir bouilli dans l'huile, efficace contre les flèches ;
* Le cuir clouté ;
* Le bois : utilisé pour les boucliers ;
* L'écaille : petites écailles de bois ou de métal, très efficace contre les coups de taille, mais vulnérable aux coups d'estocs ;
* La cotte de mailles : assemblage de petits anneaux d'acier, en veste, en camail (sur la tête uniquement), en chemise, cotte ou haubert ;
* La plate : plaque de métal très solide, mais également très lourde. Cependant, elle restait plus facile à porter qu’une cotte de mailles, grâce à une très bonne distribution du poids.

Eléments

* bouclier : protection amovible portée au bras : aspis (Grèce antique), écu, rondache, ailette ;
* casque : protection de la tête : casque corinthien (Grèce antique), heaume, salade, bourguignotte, cabasset, bassinet, chapel, armet (exemple), sallet (exemple) ;
harnois complet d'un chevalier monté.
harnois complet d'un chevalier monté.
* cubitière : protection du coude ;
* cuirasse : coque métallique protégeant le torse et le dos ;
* cuissard : protection des cuisses ;
* gantelet : gant métallique ;
* genouillère : protection du genou ;
* haubert : cotte de mailles ;
* hausse-col : protection du cou ;
* jambière : protection des jambes (en dessous du genou), constitué du soleret et de grèves ;

Les chevaux pouvaient également avoir une armure. L’équivalent équin du harnois plain se nommait caparaçon (et non carapaçon, qui est une fausse étymologie). Le heaume du cheval se nommait chanfrein.

Le prolongement moderne des armures se trouve dans les gilets pare-balles et les équipements de la police anti-émeute, souvent en kevlar® et celui des démineurs.

L'armure normande est celle qui fut utilisée lors de la conquête de l'Angleterre par Guillaume le Conquérant et lors des premières croisades. Elle se compose d'une tunique matelassée, le gambison, sur laquelle on porte le haubert, une chemise de mailles, un casque de type « bol » avec protection nasale et un bouclier.

Le haubert comprend une capuche (camail) et descend en dessous des genoux. Il est fendu devant et derrière entre les cuisses pour permettre de marcher et de chevaucher. Un rabat permet de couvrir le bas du visage, ainsi, seuls les yeux restent exposés.

Les anneaux métalliques du haubert servent à briser l'énergie du choc et à empêcher les tranchants des armes de couper ; la gambison amortit les chocs et empêche les blessures par fracture et contusion.

Le bouclier est une évolution du bouclier viking (ancêtres des normands). Il a la forme d'une goutte d'eau ou d'une amande, ce qui permet de protéger les jambes. Il a deux jeux de lanières dans lesquelles on passe le bras, ce qui permet de le porter verticalement lors de la marche, ou à l'horizontal lorsque l'on chevauche, pour protéger le flanc du cheval. Il dispose aussi d'une poignée permettant de le tenir au poing, pour mieux s'abriter contre une pluie de flèches ; de l'autre côté de la poignée se trouve une protubérance métallique, le tout formant l'umbo. Le dessin sur ce bouclier est inspiré des dessins vikings et n'a pas encore la fonction de reconnaissance (l'héraldique n'est apparue que plus tard, lorsque le visage fut intégralement caché par le heaume ou la salade).

Armure du XVe siècle

Au cours du temps, l'armure a évolué, et les plaques métalliques, ou plates, ont fait leur apparition pour remplacer au fur et à mesure les mailles. En effet, celles-ci sont assez peu efficaces contre les attaques d'estoc à la dague ou les flèches.

On pouvait avoir une armure mêlant mailles et plates : le chevalier portait une chemise (ou cotte) de maille, voire une cuirasse, mais les bras et les jambes étaient protégées par des plaques métalliques rivetées, et le casque s'ajustait par-dessus un gorgerin. On parle alors parfois de demi-armure.

Le Dieu Odin aurait, dit on, concu une armure d'or, avec son célèbre marteau.

Armures japonaises

L'armure traditionnelle japonaise, gusoku ou yoroi pour les armures plus anciennes, est constituée de plaques de métal assemblées par des lanières. Les samouraïs privilégiaient la mobilité, le kabuto comporte donc plus de points de faiblesse que ses homologues européennes. Elle se compose

* d'un casque : kabuto ou jingasa ;
* d'un mempo : gorgerin, éventuellement accompagné d'un masque protégeant le bas du visage ;
* d'une cuirasse, dou : elle pouvait être articulée (formée de lamelle, karuta), on parlait alors de tatami, les points de faiblesse étant protégés par une cotte de mailles (so gusari), et recouverte de cuir (e gawa).
* de protections d'épaules, kohire, attachées à la cuirasse, de conception similaire à la brigandine (kikko) ;
* de protections de l'aine, sous la forme de lamelles de métal attachées à la cuirasse ;
* de protection de bras en métal ;
* de jambières en métal.
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